Category: Actualités

Building a RESTful API with FastAPI, Pydantic, and Firestore

We’ll explore in this article how to build Restful API using FastAPI, Pydantic, and Google Firestore. A modern way for building APIs with Python, provides a powerful combination of speed, simplicity and accessibilty.

 

Setting Up the Environment : First, make sure you have Python 3.7 or above installed on your system. Before installing the dependencies for your project, it’s a good practice to create a virtual environment to isolate your project’s dependencies from other Python projects on your system.

 

To set up the requirements for the dependencies in your project, you can create a requirements.txt file that lists all the packages and their versions. Here’s how you can do it for our FastAPI, Pydantic, and Firestore project :

 

fastapi==0.68.1
uvicorn==0.15.0
pydantic==1.9.0
google-cloud-firestore==2.3.2
uuid==1.30

 

Now, let’s define the model Item that represents the structure of our data . We’ll ensure that the item id is generated server-side and remains private to prevent users from setting it manually. This approach enhances security and maintains consistency in our data model.

 

from pydantic import BaseModel, PrivateAttr
import uuid

class Item(BaseModel):
id: str= PrivateAttr(default_factory=lambda: str(uuid.uuid4())) 
    name: str
    description: str

 

We’ve set a default factory for the id field to generate a UUID when creating a new instance of the Item model.

 

Now, let’s dive into the implementation of two crucial routes in our API: creating a new item and getting all items. These routes are fundamental for adding new data to our database and retrieving the existing data. Let’s explore how they work :

 

from fastapi import FastAPI, HTTPException
from google.cloud import firestore
from models import Item

# Initialize Firestore client
db = firestore.Client()
items_collection = db.collection('items')

# Initialize FastAPI app
app = FastAPI()

@app.post("/items/", response_model=Item)
async def create_item(item: Item):
    item_data = item.dict()
    items_collection.document(item.id).set(item.dict())
    return Item(**users_ref.document(item.id).get().to_dict())

 

Inside create_item we save the received item into a document in the Firestore collection items and retrieve it to the user.

 

@app.get("/items/")
async def get_all_items():
    items = []
    for doc_item in items_collection.stream():
        items.append(doc_item.to_dict())
    return items

 

In Firestore, the stream() method is used to retrieve documents from a collection in real-time. It returns an iterable that allows you to asynchronously iterate over the documents in the collection as they are added, updated, or removed.

 

It provides a powerful tool for building reactive applications and managing real-time data.

 

You ready to launch the FastAPI application with uvicorn. Assuming your FastAPI app is defined in a file named main.py

uvicorn main:app --reloaduvicorn main:app --reload

 

 

FastAPI provides interactive API documentation, including a Swagger UI generates documentation based on the structure and type hints of your API endpoints.

 

 

In conclusion, we can now create functional APIs very quickly. Still there are several ways we can enhance it to make it better. We can create a more robust, secure, and user-friendly FastAPI application that meets the needs of our users and exceeds their expectations. That we’ll discuss later. Let’s continue to iterate and refine our application to deliver the best possible experience for our users.

En savoir +

Index égalité professionnelle Femmes / Hommes 2024

 

Chaque année, les entreprises d’au moins 50 salariés doivent calculer et publier l’index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

Conformément au décret n° 2019-15 du 8 janvier 2019, l’index doit être calculé à partir de 4 à 5 indicateurs (selon la taille de l’entreprise). Il donne une note sur 100 points. Chaque société doit atteindre, au minimum, 75/100.

 

Les 5 indicateurs de mesure :

– écarts de rémunération entre les femmes et les hommes, à poste et âge comparables (40 points)
– écart dans les augmentations individuelles (20 points)
– écart dans les promotions entre les femmes et les hommes (15 points) – uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés
– augmentations au retour de congé de maternité (15 points)
– répartition sexuée des dix salariés ayant les plus hautes rémunérations (10 points)

 

Logic@l Conseils : Un engagement profond envers l’égalité 

Nous créons un environnement où chacun peut s’épanouir et évoluer de la même manière.

Aujourd’hui, nous sommes fiers de partager les résultats de notre index d’égalité professionnelle Femmes/Hommes qui reflète nos engagements dans ce domaine.

 

En 2024, Logic@l Conseils obtient la note de 92 points dont voici la répartition :

 

En savoir +

Vue.js : L’Art du Développement Front-End avec Gestion de l’État, Optimisation des Appels API, et Vue Router & Vuex

Explorons en profondeur les détails techniques de Vue.js, un framework JavaScript qui a conquis le cœur des développeurs front-end. Mettons en lumière la gestion de l’état avec Pinia, l’optimisation des appels API grâce à Axios, et découvrons comment Vue Router et Vuex facilitent la navigation et la gestion de l’état dans une application Vue.js.

 

Réactivité : La Magie Sous le Capot

Le cœur battant de Vue.js réside dans son système de réactivité. Cette technologie ingénieuse utilise des observateurs pour détecter les changements dans les données, automatisant ainsi les mises à jour du DOM. Résultat : des interfaces utilisateur fluides et réactives sans l’agitation du code DOM manuel.

 

Composants : L’ADN de Vue.js

Les composants sont les éléments fondamentaux de Vue.js. Chaque composant est une instance Vue autonome avec sa propre structure, son propre état et ses méthodes. Cette modularité permet de créer des applications bien organisées, tout en favorisant la réutilisation de code. Le pouvoir de la composabilité à portée de main !

 

Directives : Diriger le DOM avec Facilité

Les directives sont l’âme de Vue.js. Elles ajoutent des fonctionnalités aux éléments HTML, avec des instructions déclaratives. “v-if” permet de conditionner l’affichage, “v-for” facilite la répétition d’éléments, et “v-bind” lie des données aux propriétés HTML. Ces directives simplifient la manipulation du DOM avec élégance.

 

Gestion des Événements : Simple comme un Clic

La gestion des événements dans Vue.js est une brise rafraîchissante. Les raccourcis, tels que “@click,” permettent de définir des écouteurs d’événements en un clin d’oeil. Il n’a jamais été aussi simple de créer une interaction utilisateur fluide.

 

Vue Router : La Navigation en Douceur

Vue Router est une extension officielle de Vue.js qui facilite la navigation au sein d’une application à page unique (SPA). Vous pouvez créer un tableau de routes avec des enfants pour chaque chemin, définissant ainsi une expérience de navigation fluide au sein de l’application.

 

Vuex : La Gestion de l’État Global

Vuex est une bibliothèque d’état centralisée pour les applications Vue.js. Il permet de gérer l’état global de l’application de manière cohérente. Les données sont stockées dans un store global et peuvent être accessibles et modifiées de manière sécurisée depuis n’importe quel composant. Cela facilite la communication entre les composants parents et les composants enfants, ainsi que la gestion de l’état global de l’application.

 

Axios : L’Art de Gérer les Appels API

Axios est une bibliothèque JavaScript qui simplifie la réalisation d’appels API. En l’intégrant avec Vue.js, vous pouvez effectuer des requêtes HTTP pour récupérer et envoyer des données vers votre serveur. Axios offre une syntaxe simple et une gestion efficace des erreurs, facilitant la communication avec vos services backend.

 

Stores : Réduire les Appels API, Augmenter la Performance

Les stores Pinia sont des conteneurs de données centralisés. Ils vous permettent de stocker des données localement, évitant ainsi de nombreux appels API redondants. Lorsqu’une requête API est effectuée, les données sont mises en cache dans le store. Les futurs appels à la même donnée sont satisfaits à partir du cache local, réduisant ainsi la charge sur le serveur et améliorant la réactivité de l’application.

 

Composition API : Révolutionner la Structure

La Composition API est le dernier joyau de la couronne Vue.js. Elle introduit une nouvelle manière de structurer la logique des composants en regroupant données et méthodes connexes. Dites adieu aux composants encombrés et bonjour à une organisation élégante du code.

 

 

Vue.js a révolutionné la manière dont nous abordons le développement front-end. Sa réactivité, sa simplicité et sa performance en font un outil incontournable pour les développeurs modernes. Pourquoi ne pas vous plonger dans Vue.js et explorer ses possibilités ? Que vous soyez un débutant cherchant à apprendre ou un professionnel chevronné cherchant à améliorer ses compétences, Vue.js vous ouvre les portes d’un monde passionnant de développement web réactif et performant.
Rejoignez la communauté Vue.js et soyez prêt à façonner l’avenir du développement web.

En savoir +

Digital Cleanup Day

L’informatique est aujourd’hui présent partout dans nos vies. C’est pourquoi, il est primordial d’être vigilant sur son usage.

Adopter des bonnes pratiques quant à l’utilisation de nos appareils et de nos données devient incontournable, que ce soit d’un point de vue de l’exposition des données de la vie privée mais aussi d’un point de vue de l’impact écologique.

Le Digital Cleanup Day est une journée de sensibilisation à l’empreinte environnementale du numérique.

Pour réduire l’impact de nos activités numériques sur l’environnement, plusieurs actions sont possibles : nettoyage des boîtes mail, des téléphones et des ordinateurs mais aussi réutilisation d’anciens appareils numériques afin de réduire l’e-waste.

 

Data cleaning

 

     1.Mail

 

Un des principaux consommateurs en énergie est notre boite mail. Certaines études montrent que l’envoi de 65 emails est équivalent à conduire une voiture thermique sur 1 km.

La pollution générée est d’environ 10g de carbone pour un email simple et en moyenne 50g de carbone pour un email avec pièce jointe. Il n’est bien sûr pas question de retourner à la lettre papier, car envoyer un email reste 50 fois moins polluant. Par contre, il est possible de réduire leur nombre, et par extension leur coût de stockage en agissant sur la multitude de spams et de newsletters qui polluent nos boites.

A la manière d’un “Stop Pub” numérique, un des leaders dans ce domaine est l’application Cleanfox.

Elle analyse votre boite mail afin de recenser les newsletters et autres indésirables. Une interface fortement inspirée de Tinder vous propose soit de les conserver, soit de les supprimer et même de vous désabonner automatiquement.

A titre d’exemple, une analyse rapide d’une boite Gmail a déjà permis à l’un de nos collaborateurs de se désabonner de 74 newsletters et de supprimer 6820 emails. Rapporté à l’année cela représente une économie de 68.20kg de carbone.

Nous vous invitons à faire de même et à vous inscrire en utilisant le code “4D612D2551”. Pour chaque inscription avec ce code, Cleanfox s’engage à planter 1m² d’arbres, un impact environnemental positif !

 

     2. Smartphone

 

Nettoyage

Presque tout le monde a aujourd’hui au moins un téléphone et/ou une tablette, et ceux-ci ont la fâcheuse tendance à s’encrasser rapidement. Nous détaillerons ici la partie Android, qui reste le système le plus exploité sur l’ensemble des appareils, mais ces tips s’appliquent également à iOS.

Le premier outil auquel tout le monde a accès est l’outil de nettoyage intégré au système.

Sous Android, il suffit de se rendre dans l’onglet “Stockage” des paramètres, en plus de détailler l’utilisation du stockage, l’écran affiche un lien de nettoyage. Celui-ci permet de supprimer les fichiers inutilisés, et de désinstaller les applications les moins utilisées, et potentiellement inutiles.

Il est également possible d’installer une application tierce qui permettra d’aller un peu plus loin, en supprimant notamment des données en cache et autres fichiers temporaires. La plupart des fournisseurs antivirus (Avast, AVG, Norton…) proposent également des applications de nettoyage. Vous pouvez les tester et vous faire une idée, seulement la plupart (toutes?) nécessitent de payer pour être plus efficace que l’outil système. Pour les connaisseurs, CCleaner a aussi une version Android, la version gratuite est un peu plus exhaustive que l’outil système, mais il reste toujours bien moins intéressant que la version payante.

Les téléphones rootés (un processus relativement dangereux qui vous octroie tous les droits sur votre téléphone, mais annule votre garantie et vous empêche d’utiliser toute application bancaire, sauf si vous savez ce que vous faites) peuvent installer SD Maid. Grâce à l’accès Super Utilisateur, cette application permet de nettoyer un peu plus en profondeur, il faudra néanmoins payer pour la fonctionnalité de nettoyage des applications.

 

Antivirus

Terminons par l’installation et l’utilisation d’un antivirus. Celle-ci est complètement optionnelle et, dans la majorité des cas, inutile car la totalité des applications sur les stores officiels sont garanties sans virus, et sans un accès Super Utilisateur. Un virus aura une marge de manœuvre assez restreinte sur un téléphone ou une tablette. La plupart des acteurs majeurs du marché Windows sont également présents sur Android, ils proposent probablement tous une version gratuite, mais aussi un abonnement combiné PC et téléphone/tablette.

 

     3. Ordinateur

 

A l’instar des téléphones et tablettes, nous présenterons ici la version la plus commune. Le processus de nettoyage d’un ordinateur sous Windows ou Linux est sensiblement identique à celui d’un téléphone, au détail près que l’outil système peut largement être ignoré.

 

Nettoyage

Côté Windows, il faudra préférer CCleaner (et sa version payante si vous le pouvez) qui permettra de nettoyer les fichiers temporaires et certains trackers. Il vous permet également de faire le ménage dans les applications qui se lancent automatiquement au démarrage et ralentissent la séquence de boot, telles que l’icône tray d’Adobe, ou ironiquement, le processus CCleaner qui n’ont pas besoin de se lancer avec Windows… Si vous êtes plus orientés open source, BleachBit a une version Windows totalement gratuite, mais elle ne couvre pas les trackers. Vous pouvez également coupler ces solutions à un anti-malware tel que MalwareBytes, disponible en version gratuite.

Côté Linux, un outil appelé Stacer fournit les mêmes fonctionnalités que CCleaner sous Windows et s’utilise quasiment de la même façon. BleachBit a bien entendu une version Linux, c’est sur Linux qu’il est né.

 

Antivirus

L’utilisation d’un antivirus est obligatoire sous Windows. L’antivirus du système (anciennement Windows Defender) est aujourd’hui suffisant dans la majorité des cas. Vous pouvez bien sûr lui préférer un concurrent, gratuit ou payant, mais si vous n’êtes pas un pirate et n’avez pas la fâcheuse manie de cliquer sur tous les liens bizarres que vous voyez, vous ne devriez pas avoir de souci. Le meilleur antivirus restera toujours votre bon sens.

Quant à Linux, un antivirus est inutile dans 99.99% des cas. Si vous souhaitez tout de même en installer un, il en existe un open source qui se nomme ClamAV.

 

 

Second life

 

     1. Ordinateur

 

Ressusciter un ordinateur n’a jamais été aussi simple qu’aujourd’hui, et ce, même s’il arbore une pomme. En effet, il existe une multitude de distributions Linux faites pour tourner sur des vieux ordinateurs comme les distributions Xubuntu, Lubuntu ou Alpine Linux. Un PC plus jeune saura faire tourner sans problème Ubuntu classique, Linux Mint ou encore elementaryOS. Les plus intrépides pourront se tourner vers EndeavourOS voire même Arch Linux, mais pensez à poser une demi-journée pour ce dernier si c’est votre première fois.

L’installation de toutes ces distributions commence de la même manière. Il vous faudra un ISO officiel de la distribution, téléchargeable sur leurs sites dédiés, ainsi qu’une clé USB de 4 à 8 Go en fonction de la taille de l’ISO. Sous Windows, un petit programme comme Rufus vous permettra de flasher l’ISO sur votre clé USB pour en faire ce qu’on appelle une clé bootable. Il suffira ensuite de brancher cette clé sur votre ordinateur, et d’appuyer sur la touche prévue pour afficher le menu de boot au démarrage, généralement F11 mais celle-ci peut changer en fonction des marques.

Une fois booté sur la clé, 2 cas de figure se présentent. Soit l’installateur démarre automatiquement et il s’agira juste de suivre les instructions à l’écran ; soit le Linux lui-même démarre afin que vous puissiez le tester avant de l’installer. Dans ce cas l’installateur aura probablement une icône dédiée sur le bureau. Deux exceptions, Arch Linux et Alpine Linux ne présentent qu’une ligne de commande au démarrage, il faudra alors suivre les instructions respectives sur les sites de ces distributions.

 

     2. Smartphone/Tablette

 

Le marché du smartphone et de la tablette est probablement la plus grosse source d’e-waste à ce jour. Il n’est pas rare qu’un modèle soit supporté par pas moins de 7 générations d’iOS tandis qu’un smartphone Android verra au maximum 3 générations.

Néanmoins, les smartphones Android ont un atout clé que n’ont pas leurs concurrents, ce sont les ROMs customisées. La plus connue d’entre elles aujourd’hui est LineageOS (anciennement Cyanogen Mod), une modification d’Android stock permettant de supporter beaucoup plus d’appareils. Par exemple, un Nokia 6.1 de 2018 supporte officiellement Android 10 et n’as pas reçu de mise à jour depuis 2 ans, mais grâce à LineageOS, il est en ce moment sous Android 13 et profite des dernières avancées en termes d’ergonomie, de sécurité et de performance. Attention, LineageOS ne supporte pas tous les téléphones de la planète, il faudra d’abord vérifier la compatibilité sur leur site officiel.

L’installation d’une ROM custom comme LineageOS est relativement simple, elle nécessite l’accès a un ordinateur avec les outils officiels de Google, adb et fastboot, ainsi qu’un câble USB A vers C. Cela passe généralement par 2 étapes, d’abord l’installation d’une recovery custom (un peu comme le bios d’un ordinateur), puis l’installation de l’OS depuis cette nouvelle recovery. Chaque smartphone aura quelques variations dans les instructions, mais tout est détaillé sur le site officiel de LineageOS.

A l’installation, vous pouvez choisir d’installer ou non les applications officielles de Google, et de rooter le téléphone pour vous donner accès à plus de fonctionnalités Mais souvenez-vous qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. Notez que les applications officielles de Google ne sont pas strictement nécessaires, car la version open source d’Android fournit des équivalents (moins ergonomiques) aux versions estampillées Google.

 

 

Vous avez maintenant à votre disposition tout un arsenal de trucs et astuces afin de réduire votre empreinte carbone. Il n’est peut-être pas trop tard pour sauver la planète, ces gestes simples pour la plupart permettront de diminuer votre consommation d’énergie ainsi que le gaspillage électronique.

Cette liste n’est, bien entendu, pas exhaustive et nous vous encourageons à redoubler de créativité et à partager vos bonnes pratiques avec votre entourage. Chaque geste compte, aussi insignifiant qu’il puisse paraître.

En savoir +
Hologram smart car psd futuristic technology

How to Stay Independent from One’s Cloud Provider

Introduction

 

One of the key benefits of using cloud services is the ability to quickly and easily scale up or down to meet changing business needs. This can be particularly important for companies that experience seasonal fluctuations in demand, or that need to respond to sudden changes in customer behavior. By using cloud services, companies can avoid the need to invest in expensive hardware and software upfront, and can instead pay for the resources that they need on a pay-as-you-go basis.

 

However, this dependence on cloud providers can also create a number of challenges for companies. For example, there is the potential for vendor lock-in, where a company becomes so dependent on a particular cloud provider that it is difficult to switch to a different provider without incurring significant costs and disruption.

 

Thus, staying independent from one’s cloud provider is an important strategy, one that should be thought of in the early stages.

 

In this article, we’ll take a look at some of the practices and solutions to have that independence. We’ll start by talking about the choice of the architecture design, then we’ll see some of the cloud managed solutions to use and the ones to avoid. We’ll be taking GCP’s solutions as an example.

 

Architecture design

 

Some of the solutions to consider in one’s architecture design are Docker, Terraform and a blacklist of solutions to avoid.

Using Docker can be important in helping to increase flexibility in an infrastructure solution, as it allows for the creation and deployment of lightweight, portable, and self-contained units of software called containers. These containers can be easily moved between different environments, such as from a development environment to a production environment, without the need to worry about differences in underlying infrastructure. This can be particularly useful when it comes to future migrations, as it can help to ensure that the application or service can be easily moved to a new environment without requiring significant rework or reconfiguration.

Terraform is another tool that can be useful in increasing flexibility in an infrastructure solution. It is a infrastructure as code (IaC) tool that allows users to define and manage infrastructure resources, such as compute instances, networking resources, and storage, using declarative configuration files. This allows for the creation of reusable and version-controlled infrastructure configurations that can be easily shared, modified, and applied across different environments. Having the ability to easily manage and modify infrastructure using Terraform can be particularly useful when it comes to future migrations, as it can help to automate the process of provisioning and configuring new resources in the target environment.

Having a blacklist of IT solutions to avoid can also be important in increasing flexibility in an infrastructure solution. By identifying certain solutions that may not be suitable for the organization’s needs or that may introduce unnecessary complexity or risk, it can help to ensure that the infrastructure is built on a solid foundation and can be more easily modified or migrated in the future. This can be particularly useful when it comes to making changes to the infrastructure or moving to a new environment, as it can help to reduce the risk of introducing technical debt or compatibility issues that could hinder the migration process.

 

Cloud solutions to use

 

Using some of the solutions like BigQuery and Cloud Run can help to reduce the burden of changing cloud providers in the future, as they both offer features that can make it easier to migrate applications and workloads between different cloud environments.

BigQuery is a fully-managed, serverless data warehouse service that is compliant with the ANSI SQL 2011 standard. This means that it supports a standard SQL syntax that is widely used and supported by many different database systems. As a result, it can be easier to move data and queries between different database systems and environments, including between different cloud providers. This can be particularly useful when it comes to migrating applications and workloads that rely on BigQuery to a new cloud provider, as it can help to ensure that the data and queries can be easily transferred without requiring significant modification.

Cloud Run is a fully-managed platform for deploying and scaling containerized applications. It allows users to deploy Docker containers as standalone applications or as part of a managed service, and offers automatic scaling and high availability. Because Cloud Run is based on Docker containers, which are portable and self-contained units of software, it can be easier to migrate applications and workloads that are deployed on Cloud Run to a new cloud provider. This is because the containers can be easily moved between different environments, including between different cloud providers, without the need to worry about differences in underlying infrastructure.

 

Cloud solutions to avoid

 

On the other hand, using some of the solutions like App Engine and Firestore can add a significant burden when it comes to changing cloud providers in the future, as they are both proprietary cloud-managed solutions that are tightly integrated with the Google Cloud Platform (GCP) and may not be compatible with other cloud providers.

App Engine is a fully-managed platform for building and deploying web applications and services on GCP. It offers a wide range of features and capabilities, such as automatic scaling, high availability, and integration with other GCP services. However, because it is a proprietary solution that is tightly integrated with GCP, it may be more difficult to migrate applications and workloads that are built on App Engine to a different cloud provider. This is because the APIs and interfaces used by App Engine may not be compatible with other cloud platforms, and the application may need to be significantly modified in order to work in a new environment.

Firestore is a fully-managed, NoSQL document database service that is also tightly integrated with GCP. It offers real-time synchronization, offline support, and automatic scaling, but like App Engine, it is a proprietary solution that may not be compatible with other cloud providers. Migrating data and applications that rely on Firestore to a different cloud platform may therefore require significant effort, as the data may need to be exported and transformed in order to be used in a new environment, and the application may need to be modified to work with a different database service.

 

Conclusion

In conclusion, there are several key steps that organizations can take to help stay independent from their cloud provider and increase the flexibility and scalability of their infrastructure solution. One of these steps is to carefully consider architecture design and its tools.

Another important step is to carefully consider which cloud solutions to use and which ones to avoid. This may involve identifying solutions that are proprietary or tightly integrated with a particular cloud provider and may not be compatible with other platforms, and building a blacklist of such solutions to avoid. By doing so, organizations can help to ensure that their infrastructure is built on a solid foundation and is less likely to introduce unnecessary complexity or risk.

Overall, by following these tips, organizations can increase their independence from their cloud provider and build a more flexible and scalable infrastructure solution that is better able to meet their needs and support future migrations.

En savoir +

Pourquoi une culture Data Driven est-elle essentielle ?

En cette période de transformation digitale, le monde des affaires est plus que jamais axé sur les données. Alors qu’avant, les entreprises prenaient des décisions en se basant sur l’expérience et l’intuition, aujourd’hui, elles s’appuient de plus en plus sur les données. Ce changement est dû à un certain nombre de facteurs, notamment l’essor du big data et la disponibilité de puissants outils d’analyse. Par conséquent, les données jouent désormais un rôle central dans le fonctionnement des entreprises et une culture Data Driven autrement dit, pilotée par la donnée, est essentielle. Découvrez pourquoi dans cet article.

 

Qu’est ce que la transition numérique des entreprises ?

Au cours de la dernière décennie, nous avons assisté à un changement majeur dans le mode de fonctionnement des entreprises. 

Avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information, les entreprises délaissent de plus en plus les méthodes traditionnelles de communication et de marketing au profit des plateformes numériques.

Le processus de transformation numérique peut être divisé en trois phases distinctes : la numérisation, qui se concentre sur l’automatisation des processus et tâches manuels ; la digitalisation, qui fait référence à l’intégration des données et de l’analytique dans tous les aspects de la prise de décision ; et enfin, l’optimisation numérique, qui consiste à utiliser des technologies avancées pour améliorer l’expérience client et les performances de l’entreprise. 

Chaque phase présente ses propres défis et opportunités, mais toutes doivent être naviguées pour réussir à l’ère du numérique. 

La transition numérique a eu un impact profond sur la manière dont les entreprises interagissent avec leurs clients et leurs employés. Elle a également modifié la façon dont les entreprises se commercialisent et commercialisent leurs produits.

À bien des égards, la transition numérique a été une force positive pour les entreprises, offrant de nouvelles possibilités de croissance et d’efficacité. Cependant, elle a également créé certains défis, en particulier pour les entreprises qui tardent à s’adapter au nouveau paysage. 

La transition numérique est un processus continu, et il est clair que les entreprises qui adoptent le changement seront celles qui réussiront dans la nouvelle économie.

 

L’importance de la data dans le transition numérique 

Alors que de plus en plus d’entreprises se lancent dans le numérique, les données sont devenues l’un des actifs les plus importants qu’une entreprise puisse posséder. L’accès aux données aident les entreprises à comprendre leurs clients, à suivre leurs performances et à prendre de meilleures décisions.

Par le passé, les entreprises se sont largement appuyées sur leur instinct et leur intuition pour prendre leurs décisions. Toutefois, à l’ère du numérique, les données sont reines. Avec les bonnes données, les entreprises peuvent obtenir des informations précieuses sur leurs clients, leurs marchés et leurs opérations qu’elles n’auraient jamais pu trouver auparavant.

Par conséquent, de nombreuses entreprises subissent des transformations numériques et instaurent une approche data centric au sein de leur organisation en faisant appel à des ESN spécialisées par exemple. Le monde devenant de plus en plus numérique, les entreprises capables d’exploiter la puissance des données bénéficieront d’un réel avantage.

 

Définition de la culture “Data Driven” ou “Data centric”

Une culture d’entreprise dite Data Driven ou Data Centric est une culture axée sur les données. Ainsi, les données sont utilisées pour prendre des décisions à tous les niveaux de l’organisation. Cela peut être réalisé par divers moyens, tels que l’analyse des données, la visualisation des données et l’expérimentation.

De manière générale, cela signifie que les données sont collectées, analysées et interprétées afin d’éclairer la prise de décision. L’objectif est d’utiliser les données pour améliorer les performances et atteindre les objectifs. 

Mettre en place une culture Data Driven nécessite un engagement fort de la part des hauts dirigeants, qui doivent donner le ton et fournir les ressources nécessaires. Elle nécessite également l’adhésion de tous les employés, qui doivent être prêts à utiliser les données pour étayer leurs décisions. 

Lorsqu’elle est mise en œuvre correctement, une culture Data Driven peut aider les organisations à améliorer leurs performances et à atteindre leurs objectifs.

 

Culture Data Driven: Comment piloter votre entreprise par la donnée ?

La valeur des données n’est pas un secret. On dirait que chaque jour, il y a une nouvelle histoire sur la façon dont les données sont utilisées pour résoudre des problèmes et prendre des décisions commerciales. Mais que faut-il réellement pour piloter une entreprise avec des données ?

Avant tout, il faut s’engager à utiliser les données pour éclairer les décisions. Cela signifie qu’il faut créer une véritable culture axée sur les données au sein de votre organisation, où chacun, du PDG aux employés de premier échelon, comprend l’importance des données et les utilise pour guider son travail. 

De la même manière, les entreprises doivent investir dans des outils de collecte, d’analyse et de gestion de données, et elles doivent s’assurer que tous les employés ont les compétences nécessaires pour comprendre et utiliser les données. Il s’agit aussi d’employer des spécialistes tels que des data scientist, data engineer ou data analyst

La culture de la donnée nécessite beaucoup de données, les entreprises doivent donc s’assurer qu’elles disposent des ressources nécessaires pour les collecter. Elles doivent également être prêtes à apporter des changements en fonction de ce que les données montrent.

Enfin, les entreprises doivent s’assurer qu’elles ont mis en place des mesures pour suivre les progrès et tenir les employés responsables de l’atteinte des objectifs. En suivant ces étapes, les entreprises peuvent créer une culture axée sur les données qui conduit à une meilleure prise de décision et à de meilleurs résultats.

 

Quels sont les avantages du pilotage par la donnée ? 

Dans le monde des affaires d’aujourd’hui, les données sont reines. De plus en plus d’organisations s’appuient sur la prise de décision basée sur les données afin de rester compétitives et ce n’est pas par hasard. En effet, cette approche présente un certain nombre d’avantages. 

Tout d’abord, les données peuvent fournir une vision objective de ce qui se passe au sein d’une entreprise. Cela peut être particulièrement utile lorsqu’on essaie d’identifier des problèmes ou de prendre des décisions en matière de stratégie.

Ensuite, les données peuvent contribuer à améliorer l’efficacité en fournissant des indications sur les processus qui fonctionnent bien et ceux qui pourraient être améliorés. 

Enfin, la gestion axée sur les données peut contribuer à créer une culture de la responsabilité au sein d’une organisation en facilitant le suivi des progrès et l’identification des domaines où des améliorations sont nécessaires. 

En bref, la culture data driven présente de nombreux avantages pour les entreprises. Ceux qui adoptent cette approche seront bien placés pour mettre en place une bonne gouvernance des données et réussir dans le paysage commercial en constante évolution.

En savoir +

Machine Learning : Définition, avantages, fonctionnement

Le Machine Learning (ou apprentissage automatique) est un domaine de l’informatique qui se concentre sur la création d’algorithmes permettant aux ordinateurs d’apprendre à partir de données. En d’autres termes, il s’agit d’une méthode permettant d’apprendre aux ordinateurs à faire des prédictions à partir de différents types de données. L’apprentissage automatique repose sur l’idée que les machines peuvent être entraînées à apprendre par l’expérience, tout comme les humains.

Découvrez-en davantage sur le principe de Machine learning dans cet article. Comment fonctionne le machine learning ? Pourquoi est-il important pour votre entreprise ? Quel lien y-a t-il entre le machine learning et l’IA ? On répond à toutes ces questions et bien plus dans la suite de l’article.

 

Qu’est-ce que le Machine Learning ou apprentissage automatique ?

 

Définition du Machine Learning 

L’apprentissage automatique est un processus qui consiste à apprendre aux ordinateurs à faire des prédictions ou à prendre des mesures sur la base de données. Ce processus peut être utilisé pour apprendre aux ordinateurs à reconnaître des modèles, à prendre des décisions et à effectuer d’autres tâches. 

L’objectif de l’apprentissage automatique est de trouver des modèles dans les données, puis de les utiliser pour faire des prédictions ou prendre des mesures. Par exemple, l’apprentissage automatique peut être utilisé pour apprendre à un ordinateur à reconnaître les visages, à lire l’écriture manuscrite ou à prédire le marché boursier. 

L’apprentissage automatique est un domaine en pleine expansion qui offre un large éventail d’applications. Il est déjà utilisé dans un certain nombre de secteurs, notamment les soins de santé, la finance et le commerce de détail. À mesure que les algorithmes deviennent plus sophistiqués et que les ensembles de données s’élargissent, les applications potentielles de l’apprentissage automatique ne feront que croître.

Le machine learning est un domaine de recherche en pleine expansion et il existe de nombreux types d’algorithmes dans ce domaine. Parmi les types populaires d’apprentissage automatique, citons : l’apprentissage supervisé, l’apprentissage non supervisé et l’apprentissage par renforcement. Au sein de Logic@l Conseils, nous pouvons vous apporter un accompagnement et une expertise dans ce domaine.

 

Les différents types d’apprentissage automatique 

Lorsque la plupart des gens pensent à l’apprentissage automatique, ils pensent à un ordinateur capable d’apprendre par lui-même. Cependant, il existe en réalité plusieurs types d’apprentissage automatique, chacun ayant ses propres forces et faiblesses.

L’apprentissage supervisé est le type d’apprentissage automatique le plus courant et il implique la formation d’un ordinateur pour reconnaître des modèles dans les données. Par exemple, un algorithme d’apprentissage supervisé peut être utilisé pour apprendre à un ordinateur à identifier des visages dans des photos.

L’apprentissage non supervisé est un autre type populaire d’apprentissage automatique, qui consiste à apprendre à un ordinateur à trouver une structure dans les données. Par exemple, un algorithme d’apprentissage non supervisé pourrait être utilisé pour regrouper des points de données en fonction de leur similarité.

Enfin, l’apprentissage par renforcement est un type d’apprentissage automatique qui consiste à apprendre à un ordinateur à maximiser les récompenses lors de l’exécution d’une tâche. Par exemple, l’apprentissage par renforcement pourrait être utilisé pour apprendre à un robot à naviguer dans une pièce encombrée sans heurter d’obstacles.

L’apprentissage supervisé

L’apprentissage supervisé est une technique d’apprentissage automatique dans laquelle les données sont étiquetées, ce qui signifie que l’ordinateur connaît la bonne réponse. 

Ces données peuvent se présenter sous la forme d’images, de texte ou de chiffres. Les étiquettes indiquent à l’ordinateur quelle devrait être la sortie souhaitée pour une entrée donnée. Par exemple, si vous appreniez à un ordinateur à identifier des animaux, vous étiquetteriez une série d’images comme “chat” ou “chien”. L’ordinateur utiliserait ensuite ces informations pour apprendre à identifier de nouvelles images comme “chat” ou “chien”.

Les données d’apprentissage contiennent un ensemble de valeurs d’entrée (également appelées caractéristiques) et les valeurs de sortie correspondantes (également appelées étiquettes). Ainsi, la sortie de l’algorithme est utilisée pour faire des prédictions sur de nouvelles données non étiquetées comme mentionné dans l’exemple précédent.

L’apprentissage supervisé est utile pour des tâches telles que la classification et la régression, où il existe une bonne ou une mauvaise réponse claire. Il peut également être utilisé pour prédire des tendances, comme la demande future d’un produit. 

L’apprentissage supervisé nécessite des étiquettes précises afin d’apprendre des données, il est donc important de bien comprendre la tâche à accomplir avant d’essayer d’utiliser cette méthode. 

L’apprentissage supervisé peut être utilisé sur des données numériques et catégorielles, ce qui en fait un outil polyvalent pouvant être appliqué à de nombreux problèmes différents. Utilisé correctement, il peut constituer un moyen puissant de faire des prédictions et de comprendre des ensembles de données complexes.

L’apprentissage non supervisé

Contrairement à l’apprentissage supervisé vu plus haut, l’apprentissage non supervisé, quant à lui, se produit lorsque les données ne sont pas étiquetées et que l’ordinateur doit trouver des modèles par lui-même.

Ainsi, l’apprentissage non supervisé est un type d’algorithme d’apprentissage automatique qui recherche des modèles dans les données sans étiquettes préexistantes. 

Contrairement à l’apprentissage supervisé, qui repose sur des données d’entraînement préalablement étiquetées par des humains, l’apprentissage non supervisé permet à l’algorithme d’apprendre à partir des données elles-mêmes. 

Il peut être utilisé pour regrouper des points de données en groupes, ou pour trouver des relations sous-jacentes entre les variables.

Bien que l’apprentissage non supervisé puisse être plus difficile que l’apprentissage supervisé, il peut également être plus gratifiant, car il peut découvrir des modèles cachés qui seraient autrement indétectables.

L’apprentissage par renforcement

L’apprentissage par renforcement est un type d’apprentissage automatique qui s’intéresse à la manière dont les agents logiciels doivent entreprendre des actions dans un environnement afin de maximiser une certaine notion de récompense cumulative.

L’agent apprend par essais et erreurs, recevant un renforcement positif lorsqu’il effectue la bonne action et un renforcement négatif lorsqu’il effectue la mauvaise action.

Au fil du temps, l’agent devrait apprendre à faire les bons choix plus souvent, ce qui conduit à une meilleure performance globale. L’apprentissage par renforcement a été appliqué avec succès à une variété de tâches, y compris le contrôle de robots, les jeux vidéo et les négociations automatisées.

 

Comment fonctionne le Machine Learning ?

À la base, l’apprentissage automatique consiste à enseigner aux ordinateurs comment apprendre à partir des données. Ce processus commence par l’alimentation de l’ordinateur en grandes quantités de données. L’ordinateur est ensuite chargé de trouver des modèles et des relations dans ces données. Une fois que l’ordinateur a appris à partir des données, il peut alors faire des prédictions sur de nouveaux points de données.

Ce processus d’apprentissage à partir de données et de prédiction est connu sous le nom de modélisation prédictive. Il existe de nombreux types différents d’apprentissage automatique, mais ils partagent tous ce processus de base.

Parmi les exemples courants d’apprentissage automatique, citons la reconnaissance faciale, la reconnaissance vocale et le filtrage des courriels. À mesure que l’apprentissage automatique continue d’évoluer, il devrait avoir un impact profond sur nos vies et sur la façon dont nous interagissons avec la technologie.

 

Qu’est-ce qu’un modèle en Machine learning ?

Un modèle en machine learning est une représentation mathématique d’un processus du monde réel. Les modèles peuvent être utilisés pour faire des prédictions sur de nouveaux ensembles de données, ou pour comprendre la structure sous-jacente d’un ensemble de données. 

Par exemple, un modèle de régression linéaire pourrait être utilisé pour prédire le prix d’une maison en fonction de sa superficie en mètres carrés, ou encore, un modèle d’arbre de décision pourrait être utilisé pour identifier les clients susceptibles de se désabonner. 

Les modèles d’apprentissage automatique sont souvent complexes et nécessitent un réglage minutieux pour obtenir les meilleurs résultats. Mais, une fois qu’ils sont formés, ils peuvent être très efficaces pour fournir des prédictions précises ou comprendre les données.

 

Quels sont les atouts du Machine Learning pour les entreprises ?

Contrairement aux modèles statistiques traditionnels, qui nécessitent un réglage manuel approfondi pour produire des prédictions précises, les algorithmes d’apprentissage automatique peuvent améliorer automatiquement leurs performances à mesure qu’ils sont exposés à davantage de données.

Pour les entreprises, cela peut offrir un avantage concurrentiel important. L’apprentissage automatique peut être utilisé pour automatiser des tâches qui sont traditionnellement effectuées par des travailleurs humains, comme le service à la clientèle, la saisie de données, l’analyse de données et le traitement des réclamations.

En plus, l’apprentissage automatique peut être utilisé pour améliorer la précision des modèles d’analyse prédictive, ce qui peut aider les entreprises à prendre de meilleures décisions en matière de tarification, de marketing et de développement de produits.

Comme la technologie de machine learning continue de progresser, les entreprises qui sont capables d’exploiter sa puissance seront bien placées pour prospérer dans les années à venir.

 

Pourquoi utiliser le machine learning avec le Big Data ?

L’une des principales raisons d’utiliser l’apprentissage automatique avec le big data est qu’il peut aider à automatiser la prise de décision.

Par exemple, si vous analysez un grand volume de données pour trouver des tendances, vous n’avez peut-être pas le temps ou les ressources nécessaires pour examiner chaque donnée manuellement. En utilisant des algorithmes d’apprentissage automatique, vous pouvez laisser l’ordinateur faire le travail à votre place, en identifiant rapidement des modèles que vous pourriez autrement manquer.

L’apprentissage automatique peut également être utilisé pour améliorer la précision des prédictions faites à partir des big data. Par exemple, si vous essayez de prédire comment une population réagira à un nouveau produit, vous pouvez obtenir des résultats plus précis en utilisant l’apprentissage automatique qu’en utilisant des méthodes statistiques traditionnelles.

Enfin, l’apprentissage automatique peut vous aider à mieux gouverner vos données et utiliser le big data en vous aidant à identifier les relations entre différentes variables. Par exemple, si vous examinez un ensemble de données contenant des informations sur les achats des clients, vous pouvez utiliser l’apprentissage automatique pour identifier les produits qui sont souvent achetés ensemble. Ces informations pourraient ensuite être utilisées pour améliorer votre marketing ou prendre des décisions sur le développement de produits.

En bref, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles l’apprentissage automatique est un outil précieux pour traiter les big data.

 

Qu’en est-il du Deep Learning ?

 

Nombreuses sont les personnes qui associent le deep learning et au machine learning en se demandant qu’elle est la différence entre ces deux principes.

 

Définition du Deep Learning 

Le deep learning (ou apprentissage profond) est un sous-ensemble de l’apprentissage automatique qui s’intéresse aux algorithmes inspirés de la structure et du fonctionnement du cerveau.

Également connu sous le nom d’apprentissage neuronal profond ou de réseaux neuronaux profonds, l’apprentissage profond peut être utilisé pour détecter automatiquement des caractéristiques dans les données, puis utiliser ces caractéristiques pour faire des prédictions. Par exemple, l’apprentissage profond peut être utilisé pour identifier automatiquement des visages sur une photographie ou pour lire un texte manuscrit.

Le deep learning est souvent utilisé en combinaison avec d’autres techniques d’apprentissage automatique, telles que les machines à vecteurs de support et l’apprentissage par renforcement.

Alors que les algorithmes d’apprentissage automatique traditionnels nécessitent des humains pour extraire des caractéristiques des données, les algorithmes d’apprentissage profond apprennent à extraire eux-mêmes des caractéristiques. Cela rend l’apprentissage profond bien adapté aux tâches qui sont difficiles pour les humains, comme la reconnaissance d’images ou le traitement du langage naturel.

 

Machine learning vs Deep learning : Quelle différence ?

L’apprentissage automatique et l’apprentissage profond font tous deux partie du domaine plus vaste de l’intelligence artificielle (IA).

Comme dit précédemment, l’apprentissage automatique est une méthode permettant d’apprendre aux ordinateurs à apprendre à partir de données, sans être explicitement programmés. L’apprentissage profond est un sous-ensemble de l’apprentissage automatique qui utilise des algorithmes pour modéliser des abstractions de haut niveau dans les données. En d’autres termes, l’apprentissage profond permet aux machines d’apprendre par elles-mêmes, en extrayant des caractéristiques des données brutes.

L’apprentissage automatique et l’apprentissage profond sont tous deux utilisés pour faire des prédictions ou des recommandations. Cependant, l’apprentissage profond est généralement plus précis que l’apprentissage automatique, car il peut apprendre des modèles complexes à partir des données.

L’apprentissage automatique est généralement utilisé pour des tâches d’apprentissage supervisé, tandis que l’apprentissage profond est souvent utilisé pour des tâches non supervisées. L’apprentissage profond est également plus efficace que l’apprentissage automatique pour les tâches de reconnaissance d’images et de traitement du langage naturel.

 

Data mining vs Machine Learning 

L’exploration de données et l’apprentissage automatique sont tous deux des outils importants pour comprendre les données.

L’exploration de données (ou Data mining) est utilisée pour trouver des modèles et des tendances dans les données, tandis que l’apprentissage automatique est utilisé pour faire des prédictions basées sur les données. L’exploration de données et l’apprentissage automatique peuvent tous deux être utilisés pour améliorer la prise de décision. Toutefois, il existe quelques différences essentielles entre ces deux approches.

L’exploration de données se concentre sur la recherche de modèles et de relations cachés dans les données, tandis que l’apprentissage automatique se concentre sur la réalisation de prédictions. L’apprentissage automatique est également plus automatisé que l’exploration de données, car il peut utiliser des algorithmes pour apprendre à partir des données.

Par conséquent, l’apprentissage automatique est souvent plus précis que l’exploration de données. Cependant, l’exploration de données peut être plus flexible, car elle peut être adaptée à des besoins spécifiques. En fin de compte, la meilleure approche dépend des objectifs et des besoins spécifiques de l’organisation.

 

Le lien entre l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique

 

Qu’est-ce que l’IA ?

L’intelligence artificielle (IA) est une branche de l’informatique qui traite de la création d’agents intelligents, c’est-à-dire de systèmes capables de raisonner, d’apprendre et d’agir de manière autonome.

La recherche en IA traite des questions suivantes : Comment pouvons-nous créer des agents qui se comportent de manière intelligente ? Comment pouvons-nous construire des systèmes qui s’améliorent automatiquement au fil du temps ? Comment les êtres humains peuvent-ils interagir avec les systèmes d’intelligence artificielle d’une manière naturelle ?

Il existe de nombreuses approches différentes de l’IA, mais toutes partagent l’objectif de créer des systèmes informatiques capables de se comporter de manière intelligente. Parmi les techniques courantes d’IA figurent l’apprentissage automatique, le traitement du langage naturel et la robotique.

Malgré les progrès considérables réalisés dans le domaine de l’IA au cours des dernières années, il reste encore de nombreux défis à relever, notamment comment concevoir des systèmes capables d’expliquer leurs décisions aux humains, comment créer des systèmes résistants aux biais et aux erreurs, et comment garantir que les technologies d’IA sont éthiques.

 

Quel est le lien entre l’IA et le machine learning ?

Lorsqu’il s’agit de technologie de pointe, l’IA et l’apprentissage automatique sont deux des sujets les plus brûlants. Mais quel est le lien exact entre ces deux domaines d’avant-garde ?

En termes simples, l’apprentissage automatique est un sous-ensemble de l’IA qui traite du développement d’algorithmes capables d’apprendre et de s’améliorer à partir de l’expérience. Ainsi, l’apprentissage automatique permet aux machines de s’améliorer au fil du temps sans être explicitement programmées pour le faire. Cela contraste avec l’IA traditionnelle, qui repose sur des règles préprogrammées et n’est pas capable de s’améliorer.

Ainsi, si tout apprentissage automatique est de l’IA, toute IA n’est pas de l’apprentissage automatique. Cependant, les deux domaines sont étroitement liés et il est juste de dire que l’apprentissage automatique est à l’origine d’une grande partie des progrès récents de l’IA.

En savoir +

L’importance de la Business Intelligence (BI)

Grâce aux évolutions technologiques, on assiste de nos jours à une avancée numérique qui a révolutionné le monde sur plusieurs plans. L’un des grands impacts de ces avancées numériques s’est fait ressentir dans le monde des affaires. C’est en adoptant ces technologies que les entreprises récoltent des données qui leur permettent d’en savoir plus sur leur client et sur elle-même. Une fois récoltées, elles utilisent ses données pour affiner leur stratégie afin d’accroître leur chiffre d’affaires. C’est ce qu’on appelle la Business Intelligence (BI).

En dépit des différents avantages qu’offre la BI, un bon nombre d’entreprises s’interrogent encore aujourd’hui sur la raison pour laquelle elles doivent l’intégrer dans leur système de gestion. Si vous vous posez la même question pour votre entreprise, découvrez dans la suite de cet article, les raisons pour lesquelles il est crucial de mettre en place une stratégie de BI pour assurer le succès et la longévité de votre entreprise.

 

C’est quoi la business intelligence (ou informatique décisionnelle) ?

Le terme Business Intelligence (BI) correspond au fait de collecter des données, les analyser puis les transformer en informations exploitables qui permettent aux entreprises de prendre des décisions plus éclairées.

L’objectif de la BI est de donner aux organisations un avantage concurrentiel en fournissant aux décideurs les informations dont ils ont besoin pour prendre des décisions éclairées.

Les outils et techniques de BI peuvent être utilisés pour identifier les tendances du marché, optimiser les processus d’entreprise et améliorer les performances financières.

Les données sont recueillies à partir de diverses sources, notamment les données financières, les données sur les clients, les données sur les ventes et les données opérationnelles. Ces données sont ensuite nettoyées, transformées et chargées dans un entrepôt de données ou un lac de données. Une fois que les données sont dans le format approprié, elles peuvent être analysées à l’aide de divers outils et techniques de BI, tels que des tableaux de bord, des rapports, des cubes OLAP et des analyses en libre-service.

La Business Intelligence peut être fournie sous différents formats, notamment des alertes en temps réel, des rapports, des tableaux de bord et des visualisations interactives des données exploitables qui fournissent des informations sur les tendances du secteur exploité par ce dernier. 

 

Pourquoi faire de la business intelligence ?

Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les entreprises investissent dans la BI.

Tout d’abord, la BI peut aider les organisations à prendre de meilleures décisions en leur donnant accès à des données précises et opportunes. Avec la BI en place, les entreprises peuvent suivre les indicateurs clés de performance (KPI) et identifier les domaines à améliorer.

En plus, la BI peut donner aux entreprises un avantage concurrentiel en les aidant à mieux comprendre leurs clients et à cibler de nouveaux marchés.

Enfin, la BI peut aider les entreprises à améliorer leur efficacité opérationnelle en rationalisant les processus décisionnels et en automatisant les tâches.

Investir dans la BI n’est pas une décision qui doit être prise à la légère. Cependant, pour de nombreuses organisations, les avantages de la BI dépassent largement les coûts. Lorsqu’elle est mise en œuvre correctement, la Business Intelligence peut être un outil puissant pour stimuler la croissance de l’entreprise.

 

Comment faire de la business intelligence ?

Avant de penser à quoi que ce soit dans le cadre du lancement d’un projet de BI, il faut avant toute chose identifier les données à exploiter dans le cadre de ce projet. Pour cela, vous devez savoir où elles se trouvent, comment les collecter, les stocker et les organiser. 

Si au terme de cette première étape, vous constatez que vous ne disposez pas suffisamment des données ou si celles qui sont disponibles ne sont pas exploitables, vous feriez mieux d’abandonner le projet. Autrement, vous pouvez continuer le projet en suivant les étapes ci-après :

  • Définir votre stratégie et vos objectifs commerciaux 
  • Identifier en entreprise une personne qui coordonnera le projet 
  • Faire le choix de la plateforme et des outils à utiliser dans le cadre de la mise en place de votre BI 
  • Créer une équipe qui prendra en charge la mise en place et l’exécution dudit projet 

 

Les différentes phases d’un processus de BI

 

Comme mentionné plus tôt, il y a 4 étapes à mettre en place pour faire de la Business Intelligence. Voici donc à quoi correspond chacune d’elles :

 

Définir la stratégie et les objectifs commerciaux

En mettant en place votre projet de BI, vous devez au préalable définir une stratégie et déterminer les objectifs que vous souhaitez atteindre avec ce projet-là. Sans stratégie, il serait difficile pour vous d’atteindre un but précis. Il en est de même des objectifs commerciaux. En effet, sans objectifs préalablement définis, les personnes impliquées dans le projet ne seront pas motivées. 

 

Identifier un coordinateur du projet

Il est certain qu’un projet ne peut marcher sans un coordinateur qui le pilote. En effet, le coordonnateur est celui qui emmènera les personnes impliquées dans le projet à comprendre le bien fondé de ce qui doit être mis en place. Ainsi, il aura la charge d’emmener les différents départements de l’entreprise à aligner leur vision à celle du projet mis en place. La personne choisie pour coordonner votre projet doit être un leader de niveau exécutif.  

 

Choisir votre plateforme de BI

Pour l’exécution des différentes actions de votre projet, vous devez choisir une plateforme logicielle. Pour cela, il vous faut évaluer les différentes plateformes existantes afin de déterminer celle qui est en adéquation avec votre projet. A cet effet, vous trouverez de nombreuses plateformes qui disposent de fonctionnalités communes. Ainsi, vous ferez votre choix en fonction des critères d’importance accordés aux différentes fonctionnalités.

Sur une échelle d’importance, les fonctionnalités peuvent être classées comme suit :

  • Une facilité d’accès et à la visualisation des données 
  • Une facilité d’interaction avec les données dans une interface visuelle
  • Offrir aux utilisateurs la possibilité d’approfondir eux-mêmes les données découvertes

 

Identifier et impliquer les différentes parties prenantes au projet

Dans le cadre de la mise en place d’un projet de BI, vous pouvez embaucher des nouvelles personnes pour son élaboration. Si vous êtes dans une petite entreprise, vous pouvez permettre aux employés déjà présents de cumuler des fonctions afin d’exécuter celles qui sont liées à la BI.

 

À quels professionnels faire appel pour profiter de la BI ? 

Bien que les plateformes de la BI offrent la possibilité aux non analystes d’avoir accès aux rapports et aux tableaux de bord de la BI, pour qu’elle soit opérationnelle, vous devez faire appel à une équipe inter fonctionnelle. C’est cette équipe qui se chargera de l’élaboration de votre Business Intelligence.

Pour profiter de la BI, voici quelques-uns des professionnels à recruter :

  • Un spécialiste d’information ou un directeur analytique qui prendra en charge la gestion de la plateforme logicielle 
  • Un data architect (ou architecte des données) pour intégrer des données de la plateforme logicielle aux données existantes.
  • Un administrateur du site qui aura la charge d’organiser les contenus, créer les groupes utilisateur et attribuer les autorisations 
  • Un data steward (ou gestionnaire de données) qui se chargera de mettre les données en contexte, de documenter les processus et les procédures d’utilisation de votre plateforme de la BI ;

Outre ces spécialistes de la data, vous avez également besoin pour votre projet de la BI d’un comité directeur et d’un sponsor exécutif. Ces derniers auront la responsabilité de s’assurer que le projet respecte les délais.

Ces professionnels peuvent être recrutés en interne au sein de l’entreprise tout comme il est peut être recruté en tant que consultant pour s’occuper de missions bien particulières et définies dans le temps. Pour cela, vous pouvez faire appel à une ESN (Entreprise de Services Numériques) offrant des services de Business Intelligence. Ainsi, vous pourrez faire bénéficier votre entreprise de l’expertise et des derniers outils technologiques.

 

Qui utilise l’informatique décisionnelle ?

Plusieurs domaines peuvent solliciter la Business Intelligence, tels que les départements marketing, finance et vente. Généralement, l’informatique décisionnelle est utilisée dans ces départements pour mener des analyses quantitatives, la mesure des performances réalisés par rapport aux objectifs commerciaux, la collecte d’informations sur les clients et le partage des données qui servent à identifier les opportunités.   

Dans l’entreprise, les équipes des analystes des données sont des utilisateurs expérimentés qui utilisent les données combinées aux outils d’analyse pour comprendre où se trouvent les opportunités d’amélioration. A partir de cette analyse, ils déterminent les recommandations stratégiques à proposer à la direction de l’entreprise.

Pour profiter de l’impact de la BI, les responsables du département financier combinent les données financières aux données de ventes, aux données marketing et aux données d’exploitation. Les informations issues de cette combinaison sont utilisées par les utilisateurs pour prendre des décisions qui peuvent impacter les profits ou les pertes.

Dans le département commercial, les spécialistes marketing se servent des outils de la BI pour suivre les campagnes lancées. En effet, les systèmes mis en place par la BI permettent aux responsables de ce département de suivre les campagnes en temps réel, de mesurer les performances de chacune des actions menées et de planifier les futures campagnes. Grâce aux données récoltées, les équipes marketing ont plus de visibilité sur les performances globales des différentes campagnes menées. 

Dans le département de la vente, le tableau de bord et les indicateurs de performance clé sont utilisés par les analystes des données. Ces derniers s’en servent pour avoir un accès rapide aux informations complexes telles que la valeur à vie des clients, la rentabilité des clients et l’analyse de la remise.

En plus de cela, les directeurs des ventes se servent du tableau de bord et des rapports de visualisation des données pour surveiller les performances des commerciaux, les objectifs de revenus et l’état des tunnels de vente.

La BI est également utilisée dans l’ensemble des opérations de l’entreprise. Dans l’optique d’économiser du temps et des ressources, les responsables analysent les données de la chaîne d’approvisionnement pour trouver les moyens les plus efficaces pour l’optimisation du processus mis en place.

En dernier ressort, il faut retenir que chaque employé ou service de l’entreprise peut tirer profit des informations générées par l’informatique décisionnelle. 

 

Quels sont les outils d’informatique décisionnelle ?

Sur le marché des outils de la BI, vous trouverez plusieurs outils qui regroupent les applications d’analyse des données, de traitement analytique en ligne, les applications mobiles, les applications d’exploitation de la BI, les applications open source de la BI et les logiciels SaaS. La plupart des logiciels utilisés en informatique décisionnelle incluent les logiciels de la data visualisation. 

Ces derniers permettent de ressortir des infographies et de dessiner les graphiques. De même, sont également intégrés dans les logiciels de la BI des outils qui permettent de créer les cartes de performance. Celles-ci affichent les données qui ont été visualisées sous forme d’indicateurs de performance et des métriques d’entreprise. Ces outils permettent aussi de créer les tableaux de bord. Vous pouvez acquérir l’ensemble de ces applications regroupées sur une seule plateforme ou les acheter séparément. 

Dans certains projets d’informatique décisionnelle, on utilise des formes d’analyse avancées en matière d’analyse de données. Il s’agit entre autres de :

  • Forage des textes
  • Analyse de la Big Data 
  • Analyse statistique 
  • Analyse prédictive 
  • Data mining 

Les outils de la BI sont adoptés aujourd’hui dans de nombreuses entreprises. Ce qui a rendu cela possible, c’est la baisse des coûts des logiciels utilisés dans ce domaine. Pour dénicher les meilleurs outils de l’informatique décisionnelle proposés sur le marché, vous pouvez chaque année regarder le « Magic Quadrant for Analytics and Business Intelligence ». C’est un rapport annuel  publié par l’entreprise Gartner, une entreprise qui aide les autres entreprises en leur fournissant des solutions informatiques. 

Dans des rapports publiés chaque année, Gartner répertorie les outils et les plateformes les plus populaires utilisés en BI. Pour l’année 2021, les plus populaires qui ont été retenu sont :

  • Microsoft Power BI : Comme solution proposée, elle offre les solutions d’analyse aux entreprises, aide les entreprises à préparer les données, les permet de visualiser les données et les aide à créer des tableaux de bord interactifs.
  • Board :  C’est une plateforme qui aide à prendre les décisions sur les marchés des solutions unifiant la BI et le management de performance et de prévision. Cette plateforme impacte sur la performance des business des entreprises en améliorant leur processus de décision par le biais des solutions innovantes. 
  • Qlik : Elle se chargera d’analyser vos données, de concevoir des tableaux de bord pour vos projets de BI et d’intégrer les données analysées.
  • Google Looker : C’est une plateforme hébergée sur le cloud. Elle aide les entreprises à consulter, analyser et exploiter toute leur donnée. En fournissant des insight aux utilisateurs, Google Looker les aide à améliorer la productivité et la prise de décision. Grâce aux analyses intégrées, il accélère la croissance. C’est ainsi qu’elle peut augmenter la valeur de vente de 26 % et réduire les pertes utilisateur de 7 % ;
  • Domo : Il propose aux entreprises des solutions pour construire des tableaux de bord et des outils de visualisation.
  • TIBCO Software : Cette plateforme aide les entreprises à exploiter le potentiel des données en temps réel pour prendre plus rapidement et plus intelligemment les décisions en entreprise ; 
  • Oracle : Beaucoup connue dans le domaine de la Big Data, l’entreprise Oracle ne saurait être indifférente face à la BI. Pour accompagner les entreprises dans ce domaine, elle offre des solutions telles que : la visualisation des données, l’ingestion des données, la mise en place des tableaux de bord, etc.
  • IBM : En matière de gestion de données, IBM est reconnue comme l’une des entreprises qui offre les meilleures solutions aux entreprises. Ainsi, elle aide les entreprises à analyser et à visualiser leur donnée.

 

Business intelligence vs Data Science : Quelle différence ?

La Data Science et la Business Intelligence sont toutes deux des disciplines qui traitent des données. Ce qui nous intéresse ici, ce sont les points de différences qui existent entre elles. Avant d’établir les différences qui existent entre les deux disciplines, nous allons au préalable revenir sur la raison d’être de chacune d’elle.

Comme nous l’avons évoqué plus haut, la BI ou l’informatique décisionnelle a pour objectif de convertir des données brutes en outil de prise de décision. Pour ce faire, elle utilise un ensemble de technologies, d’applications et de processus pour analyser les données métiers.

A l’opposé, la Data science utilise les algorithmes, les méthodes scientifiques et une suite de processus pour extraire des informations à partir des données existantes. En d’autres termes, la science des données combine des outils mathématiques, des statistiques, des algorithmes et des outils de la Machine Learning pour déceler les tendances historiques cachées par les données. On a l’impression que les deux disciplines sont similaires. Pourtant, elles comportent de nombreux points de différences. 

Déjà au niveau des outils utilisés, la Data Science utilise des outils statistiques et mathématiques. Tandis que l’informatique décisionnelle combine les technologies et les applications pour travailler sur les données. 

D’autres différences portent sur l’espace temporel, la flexibilité et la complexité de chacune des deux disciplines. Pour ce qui est de l’espace temporel, ce dernier fait référence au temps d’utilisation des données. Etant donné que la data science utilise à la fois les données structurées et non structurées, elle intervient dans le présent, le passé et le futur. Par contre, la BI qui utilise uniquement les données structurées intervient au présent pour soutenir les décisions qui impacteront le futur de l’entreprise. 

La complexité de la data science nécessite absolument l’expertise d’un Data Scientist. Alors qu’une fois que les outils de la BI sont mis en place, ils sont accessibles à tous les utilisateurs.

 

Quelle est la différence entre Business intelligence et Big Data ?

Bien que la Big Data et la BI partagent quelques caractéristiques communes, ces deux disciplines présentent des différences sur les points suivants :

  • La façon dont les données sont traitées : La BI se sert des données pour orienter les décisions managériales. Tandis que la Big Data s’appuie sur l’évolution d’un important volume de données pour prédire les tendances futures.
  • Le type de donnée traité : Les données utilisées dans la Big Data proviennent de plusieurs sources et sont à la fois structurées et non structurées. L’informatique décisionnelle, quant à elle, utilise les données structurées.
  • Les lieux de stockage des données : Dans les projets de la BI, les données sont stockées dans un serveur central et les informations dans un data warehouse. Alors que la Big Data se fait dans un système de fichier distribué.
  • Le rôle joué par chacun en entreprise : La BI utilise les informations recueillies à la source pour livrer des rapports pertinents. Tandis que la mission de la Big Data, c’est de collecter, intégrer et analyser d’énormes quantités de données.

En savoir +

Qu’est-ce que le processus ETL (Extraire, Transformer, Charger) ?

L’ETL est un processus qui aide les organisations à gérer et à gouverner leurs données. Ce processus suit l’ordre de ces trois lettres qui signifient “Extract, Transform, Load” ou “extraction, transformation et chargement”. Alors, qu’est-ce que le processus ETL et pourquoi l’utiliser au sein de votre organisation ? Comment la mettre en place et avec quels outils ? Ou encore quelle est la différence entre ETL et ELT ? Voilà autant de points que nous allons aborder dans la suite de cet article.

 

Qu’est-ce que le processus ETL ?

Le processus ETL (Extract-Transform-Load) est un pipeline de données qui permet de déplacer les données d’un système à un autre. Les trois étapes du processus ETL sont : extraire des données d’un endroit, les transformer dans un format utilisable par un autre système, puis les charger dans ce système. 

La première étape, l’extraction (extract), consiste à extraire des données brutes de leur source d’origine. Cette opération peut être effectuée manuellement ou par le biais d’un processus automatisé. 

La deuxième étape, la transformation (transform), consiste à changer le format des données pour qu’elles puissent être utilisées par le système cible. Il peut s’agir de convertir les données d’un type de fichier à un autre ou de les reformater pour qu’elles puissent être importées dans le système cible. 

L’étape finale, le chargement (load), consiste à charger les données transformées dans le système cible. Cela peut être fait par un processus manuel ou automatisé.

Le processus ETL est un outil puissant qui peut être utilisé pour transférer rapidement et facilement des données d’un système à un autre.

 

Pourquoi utilise-t-on le processus ETL ?

Le processus ETL est un élément crucial de l’entreposage de données et de l’application de Business Intelligence (BI). Ce processus permettant de collecter des données provenant de sources de données multiples, avant de les transformer dans un format cohérent pour les charger dans un référentiel de données final, comporte de nombreux avantages. 

Tout d’abord, l’ETL peut contribuer à garantir l’exactitude et la fiabilité des données. Les données qui ont été collectées à partir de plusieurs sources sont souvent incohérentes, mais le processus ETL peut aider à les standardiser. 

Ensuite, il est vrai que le processus ETL peut contribuer à améliorer les performances. Les entrepôts de données (Data Warehouse) ou les lacs de données (Data Lake) contiennent généralement de grandes quantités de données, et le processus ETL peut aider à améliorer la performance des requêtes en réduisant la quantité de données qui doivent être analysées.

Sans compter que l’ETL peut contribuer à améliorer l’évolutivité. À mesure que les entrepôts de données s’agrandissent, le processus ETL peut contribuer à améliorer les performances en parallélisant le processus de chargement des données.

Enfin,  en chargeant les données transformées dans un référentiel central, le processus ETL peut fournir aux utilisateurs un accès plus facile aux informations dont ils ont besoin.

 

Comment mettre en place un ETL ? 

L’un des aspects les plus importants de la gestion des données est l’ETL mais sa mise en place peut sembler être une tâche intimidante. Pour mettre en place un processus ETL, il vous faut simplement suivre quelques étapes. 

Tout d’abord, avant de commencer, il vous faut décider quelles données extraire, transformer et charger dans votre entrepôt de données. Cela vous aidera à déterminer le type de processus ETL que vous devez mettre en place, puis de choisir les outils d’extraction, de transformation et de chargement appropriés. Il existe de nombreux logiciels ETL différents, il est donc important de sélectionner ceux qui répondent le mieux à vos besoins. Après avoir sélectionné vos outils ETL, il est temps de commencer à configurer votre processus.

Pour cela, les données doivent premièrement être extraites de leur source. Cela peut être fait manuellement ou à l’aide d’un logiciel. 

Une fois que les données sont extraites, elles doivent être transformées dans un format qui peut être chargé dans le système cible. Cela peut impliquer le nettoyage, le filtrage et/ou la transformation des données. 

Enfin, les données extraites et transformées doivent être chargées dans le système cible. Cela peut être fait en utilisant une variété de méthodes, y compris les chargeurs en vrac, les appels API, et les requêtes SQL. 

Un processus ETL peut contribuer à garantir l’exactitude et la mise à jour des données. Il peut également contribuer à améliorer la qualité des données et à réduire les doublons. Il s’agit donc d’un élément essentiel à mettre en place que vous pouvez tout à fait déléguer à des spécialistes dans le domaine du traitement de données tels que Logic@l Conseils.

 

Quels sont les outils ETL ? 

Les outils ETL sont conçus pour automatiser ce processus, ce qui permet de gérer plus rapidement et plus facilement de grandes quantités de données.

Les outils ETL les plus populaires sont Microsoft SQL Server Integration Services (SSIS), Informatica PowerCenter et Oracle Data Integrator (ODI)

Chaque outil possède ses propres caractéristiques et capacités, mais tous trois sont capables d’extraire des données de diverses sources, de les transformer dans le format approprié et de les charger dans le système cible. 

Les outils ETL permettent aux organisations d’économiser beaucoup de temps et d’argent en automatisant un processus qui, autrement, prendrait beaucoup de temps et serait sujet à des erreurs.

 

Quelle est la différence entre ETL et ELT ?

ETL (extract, transform, load) et ELT (extract, load, transform) sont deux approches différentes du traitement des données. 

Dans l’ETL, les données sont extraites d’une ou plusieurs sources, transformées dans un format utilisable par le système cible, puis chargées dans le système cible.

Dans l’ELT, les données sont extraites d’une ou de plusieurs sources et chargées dans le système cible. Les données sont ensuite transformées dans le système cible. 

Chaque approche a ses propres avantages et inconvénients. L’ETL est généralement plus rapide et plus facile à mettre en œuvre, mais il peut être plus complexe à gérer. L’ELT est généralement plus flexible et évolutive, mais sa mise en place peut nécessiter plus de temps et de ressources. 

En fin de compte, le choix de l’approche à utiliser dépend des besoins spécifiques de l’organisation.

En savoir +

Qu’est-ce qu’un lac de données (Data Lake) ?

Nous sommes à une époque où le big data est devenu un enjeu majeur pour les entreprises. Aujourd’hui, ces entreprises cherchent à tirer profit de leurs données pour parvenir à de meilleurs processus et résultats. C’est ainsi qu’elles vont chercher à collecter, stocker et analyser ces données en grande quantité. Le lac de données, également appelé Data Lake, monte en popularité dans cette démarche. Mais alors qu’est-ce que le lac de données ? Comment fonctionne-t-il et pourquoi les entreprises en ont tant besoin ? Nous vous expliquons tout cela dans la suite de cet article.

 

Data Lake : Qu’est ce qu’un lac de données ?

Un lac de données (ou Data Lake) est un référentiel de stockage qui contient une grande quantité de données brutes dans leur format d’origine. Il peut s’agir de données non-structurées, structurées ou semi-structurées qui peuvent provenir de diverses sources de données, telles que les médias sociaux, les applications, les recherches internet, etc. Dans un lac de données, aucune hiérarchie ne vient organiser les différents éléments.

Les lacs de données sont généralement construits sur une infrastructure cloud pour des raisons d’évolutivité et de rentabilité mais ils peuvent aussi être construits sur site. Une fois que les données sont dans le lac de données, peut venir le traitement des données et leur analyse par une variété d’outils pour découvrir des informations qui étaient auparavant cachées dans les données brutes. Par exemple, les entreprises peuvent utiliser le Data Lake pour mieux comprendre leurs clients, détecter les fraudes ou optimiser leurs opérations.

Vous l’aurez compris, les lacs de données offrent un moyen rentable de stocker et de traiter de grandes quantités de données, ce qui en fait un outil indispensable pour les entreprises et les organisations de toutes tailles.

 

Architecture et fonctionnement du lac de données

Un lac de données est un référentiel qui peut stocker tous les types de données, dans leur format natif, sans avoir à être prétraité ou structuré. L’avantage du data lake est son évolutivité car il permet de stocker un grand volume de données. On parle alors d’architecture plate car contrairement à l’entrepôt de données, la data ne sera pas contenu dans des dossiers ou des fichiers. Cela permet d’interroger rapidement et facilement les données pour en tirer des enseignements, sans avoir à passer par le long processus de transformation et d’ETL

Cependant, il ne suffit pas de déverser toutes les données dans un lac. Les données doivent être organisées de manière à faciliter leur recherche et leur interrogation. C’est là qu’intervient une bonne architecture avec des fonctionnalités telles que le partitionnement, l’indexation et la gestion des métadonnées. 

Avec une architecture de lac de données bien conçue, les entreprises peuvent tirer le meilleur parti de leurs ressources de données et créer de la valeur commerciale. Le lac de données va ainsi permettre une bonne analyse et gestion de données mais aussi une gouvernance des données efficace.

 

Pourquoi les entreprises ont besoin d’un Data Lake ?

Ces dernières années, le big data est devenu une préoccupation majeure pour de nombreuses entreprises. Les entreprises sont désireuses de trouver de nouveaux moyens de collecter et d’analyser les données afin d’obtenir des informations susceptibles d’améliorer leurs opérations et leurs résultats. Le lac de données ou Data Lake est ainsi une solution qui a gagné en popularité au sein des entreprises. 

En effet, le data lake peut être un atout considérable pour toute entreprise. Il fournit un référentiel centralisé où toutes les données d’une organisation peuvent être stockées, ce qui facilite grandement leur récupération et leur analyse. 

Comme les lacs de données ne sont pas limités à un format ou à une structure spécifique, ils peuvent accueillir divers types de données, y compris des données structurées, non structurées et semi-structurées. Ils sont donc idéaux pour les entreprises qui doivent traiter de grandes quantités de données provenant de sources disparates. 

En plus, les lacs de données peuvent être facilement adaptés à la croissance future. Comme les entreprises s’appuient de plus en plus sur les données pour prendre des décisions, un lac de données peut leur donner un avantage concurrentiel important.

 

En quoi le lac de données (Data Lake) est-il différent de l’entrepôt de données (Data Warehouse) ?

La question se pose souvent : Data Warehouse vs Data Lake, lequel choisir ? En fait, un lac de données est un vaste dépôt de données brutes qui ont été stockées dans leur format naturel. En revanche, un entrepôt de données est une base de données structurée qui a été conçue pour faciliter la récupération et l’analyse des données. 

En d’autres termes, le data lake permet aux entreprises de stocker des données sous leur forme brute, c’est-à-dire non transformées, tandis que les data warehouses servent à extraire des informations à partir de données déjà traitées, donc transformées et nettoyées. 

Comme les lacs de données peuvent stocker un grand volume de données, ils sont souvent utilisés par les organisations qui ont besoin d’analyser de grands ensembles de données. Toutefois, les data lake peuvent être difficiles à gérer et à interroger efficacement, c’est pourquoi les entrepôts de données sont souvent utilisés pour des tâches plus spécifiques telles que l’identification de tendances et de modèles.

 

Les avantages et inconvénients du Data Lake 

L’un des avantages des lacs de données est qu’ils fournissent un emplacement centralisé pour le stockage des données, ce qui peut rendre la gestion et l’analyse des données plus simples et plus efficaces. En plus, les lacs de données peuvent être moins coûteux que les entrepôts de données traditionnels, car ils ne nécessitent pas le même niveau de traitement et de nettoyage des données. 

Cependant, les lacs de données peuvent également poser certains défis. Par exemple, si les données ne sont pas correctement gérées, elles peuvent devenir “boueuses”, on parle aussi de Data swamp, et difficiles à utiliser. Sans oublier que les risques liés à la sécurité des données peuvent être accrus dans un environnement de lac de données, puisque des données sensibles peuvent être stockées à côté d’ensembles de données moins réglementés. 

Dans l’ensemble, les lacs de données peuvent offrir des avantages importants aux organisations qui cherchent à optimiser leurs efforts de gestion et d’analyse des données. Pour une bonne compréhension et prise en main de votre data lake, n’hésitez pas à contacter notre société de services numériques, Logic@l Conseils

En savoir +